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Premier Gouvernement de son second mandat : Macky «roi au Maroc»

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Tous les regards sont rivés vers le royaume chérifien. Où sejourne le président Sénégalais réélu pour un mandat de cinq ans.

Ainsi, du côté des membres du gouvernement sortant, s’est le branle bas et la peur bleue qui animent certains. Notamment, les ministres et autres Dg qui n’ont pas reussi à remporter le scrutin du 24 fevrier 2019 dans leur fief.

Ils s’agit en général, des ministres issus des régions de Thiés et de Ziguinchor. Dans ces deux localités, l’opposition a defait la coalition présidentielle et la responsabilité des leaders locaux est engagée. Tous craignenent des represailles de la part du chef.

Les régrds rivés vers le royaume chérifien

Qui va diriger le premier Gouvernement du second mandat de Macky Sall ? Qui sont les ministres qui vont partir ? Qui sont ceux qui vont arriver ? Ces questions trouveront bientôt une reponse. Au Maroc où il séjourne depuis quelques jours, sans aucune influence, Macky Sall a fini de boucler informe-t-on, le casting de son prochain gouvernement. En effet, de sources concordantes, des profils sont dégagés pour la composition de la nouvelle équipe devant l’accompagner dans son second mandat de conq ans.

Le gouvernement, qui sera composé d’une équipe homogène de femmes et d’hommes, sera dit-on bâti autour de la compétence, de l’efficacité et de l’accélération des chantiers et autres programmes.

Les mêmes sources indiquent que «le président réélu compte s’entourer de personnes avec qui, il partage les mêmes valeurs de travail ainsi que d’un sens élevé du sacrifice pour le Sénégal».

Des profils dégagés pour la station prématoriale…

L’actuel ministre des Forces Armées et l’actuel Directeur de la Senelec sont autres autres profils pour remplacer Boun Abdalah Dionn à la station primatoriale.

Ces deux personnalités qui ne sont pas trop politiques sont, selon nos sources, les profils sur lequels le chef de l’Etat compte. Parce qu’au même titre que Dionne, ils ne se mêlent pas dans des querelles politiciennes. Car, dans cette station ô combien stratégique, il faut un homme ou une femme qui n’est pas trop coloré politiquement, afin de suivre à la lettre les instruction du chef, pour conduire sa feuille de route, sans parti pris, ni trompette, ni tambour.

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